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comment idenfifier, compter

 

Contribution de an-boussard , " AFFÛT A CONNAITRE !" , 9 Jan 2006

La déontologie dans le respect des oiseaux et l'efficacité pour des observations ou des photos d'un comportement naturel sans dérangement imposent un affût.

Le bon affût doit pouvoir :

J'ai une grande expérience de plusieurs modèles dont j'ai apprécié les limites pour souhaiter vous en faire découvrir un dont une version vient de sortir.

Il est fabriqué par la Sté JAMA à Millau 12100 - Tel 05 65 60 76 01 -e-mail contact@jama.fr dont le site est http://www.jama.fr .

Cet affût a la forme d'une cape avec une têtière dotée d'une ouverture /visage de 22 x 14 cms avec grille de tissu qui dissimule le visage mais permet de voir.

Deux modèles sont proposés :

1) Modèle CONFORT -Taille plié 25 x 15 cms - Poids 1,4 kgs - Tissu coton imperméable. Prix départ usine : 99 euros - Port: France + 6 euros - Belgique : + 10 euros - Suisse + 15 euros

2) Modèle MONTAGNE - Taille plié 29 x 10 cms - Poids 550 grs - Nylon + coton imperméable Pris départ usine : 90 euros -Mêmes forfaits de port.

En vous recommandant du forum "OrniEthologie" vous bénéficierez d'une remise de 15% sur le prix départ usine. (A demander par mail à Marc Jardel sur contact_A_jama.fr )

Les prix franco net seront alors :

Modèle Confort Modèle Montagne
(Nom code "AFFANT") (Nom code "AFFANT LG")
France 90,15 euros 82,50 euros
Belgique 94,15 - 86,50 -
Suisse 99,15 - 91,50 -


Photo 1 - Affût "Confort" replié


Photo 2 - Utilisation fixe avec trépied


Photo 3 - Utilisation en mouvement avec trépied.

 

Contribution de Denis Turmel , "Re: Rapace non identifié en Savoie" , 27 Feb 2002

> J'ai du me tromper de liste de discussion.

Moi j' y ai trouvé mon compte ... dans la description et les questions initiales, mais aussi dans la réponse (même si le ton est certes un peu maladroit).
En effet, ne boxant ni dans la catégorie de l'observateur (peu de pratique du terrain, méconnaissance des espèces évoquées autrement que sur papier glacé - shame on me - ), et encore moins celle de l'homologueur assermenté, je fais mon miel de tous les échanges de ce type.

Ceux-ci , par la chronologie des questions posées, des hypothèses, des comparaisons, des aspects éludés ou négligés, s'avèrent extrêmement édifiant et profitables pour ceux d'entre nous qui boxent dans la catégorie "poids-coq".

Elaborer des listes de discussion par niveau d'érudition économiserait sans doute la patience des plus pointus d'entre nous, mais cantonneraient durablement les tâcherons - dont je suis - dans les couches les plus humides du tas de fumier de l'ornithologie.

 

Contribution de Schollaert Valéry, "Re: Rapace non identifié en Savoie" , 27 Feb 2002

Je vois que je me suis extrêmement mal fait comprendre par mon d'E-Mail d'hier soir.

Je suis, sur le terrain (je ne fait quasiment que du terrain c'est ma profession et une passion qui occupe en plus tous mes temps libres) quelqu'un de très enthousiaste (certains disent trop), même sur des oiseaux que je connais très bien.

Néanmoins, le plaisir d'observer un oiseau est encore plus grand quand on parvient a identifier l'oiseau qu'on voit et à comprendre son comportement.

Pour y arriver, et pour communiquer avec plus de précisions à ses connaissances, collègues ou sur les listes de discussions ornitho, comités d'homologation, centrales ornitrho régionales, etc ses observations il est préférable d'être précis dans ces descriptions.

C'est plus facile pour tout le monde et, croyez-moi, ne gâche en rien le plaisir de l'observation, que du contraire. S'il est bien (agréable, passionnant, etc) de pouvoir raconter un obs. dans tous ces détails, il est utile (pour l'identification) de décrire précisément l'oiseau vu. Faire deux textes séparés est la meilleure solution.

Les quelques questions que je posent sur l'oiseau vu, si vous y répondez, permettrons peut-être une identification certaine de cet oiseau, qui pourrait bien être un Aigle intéressant comme le criard. Mais il est honnêtement impossible d'avoir une opinion précise avec si peu d'éléments.

Le but de mon E-Mail était d'essayer de faire comprendre, justement, que décrire un oiseau n'est pas une affaire de spécialiste mais qu'il suffit regarder l'oiseau avec un certain recul et en se posant les bonnes questions. J'espèrais de plus faire passer cela facilement en utilisant du vocabulaire simple mais manifestement je n'y suis pas arrivé. Désolé.

Quand aux analogies, elles s'utilisent sur le terrain tous les jours mais doivent être évitées dans les descriptions détaillées. Même la littérature les utilise trop. Imaginer que vous essayer d'identifier une oiseau et que vous hésitez entre deux espèces inconnues de vous. Si l'une est plus grande, plus pâle, à la queue plus longue, aux pattezs plus courte et au bec plus épais que l'autre vous serez bien avancé!

 

Contribution de Bourdat Frédéric , "Re: Rapace non identifié en Savoie" , 26 Feb 2002

> Dans tous les cas, une éventuelle espèce peu commune ou rare, soumise à
> homologation avec une telle description sera refusée.

> > Pour éventuellement certifier une identification, il faudrait répondre à
> plusieurs de ces questions:

Non cette description ne sera pas refusé car elle ne sera pas soumise. Loin de moi l'idée de vouloir jouer dans la cour "des grands".

Je ne suis peut être pas "homologueur", mais j'avais à coeur de faire partager cette joie toute simple d'une observation inhabituelle et de progresser dans ma passion.
Vos critiques de "spécialistes" verbeux ne m'amène pas grand chose si ce n'est de l'amertume quand je pense au caractère trés sectaire dans lequel vous plongé l'ornithologie de terrain en France.

Certes mon compte rendu d'observation n'était peut-être pas digne d'une Fiche d'Homologation, mais votre pédagogie me consterne.

J'ai du me tromper de liste de discussion.

Bonne soirée!
Le mauvais cocheur
Frédéric BOURDAT.

 

Contribution de Schollaert Valéry , "Re: Rapace non identifié en Savoie" , 26 Feb 2002

>L'observation à durée 3 minutes tout au plus et me laisse dans
>l'expectative. Sûr de n'avoir jamais observé cette oiseau précedemment.
>J'ai noté tout de suite après les détails de l'obs.

Je profite de l'occasion (ce rapace sp) pour rappeler l'importance de la précision dans les descriptions. En effet, il s'agit d'une lacune assez globale des observateurs francophones. Etant moi-même francophone, je me permet cette critique générale, surtout que je peux comparer les descriptions des francophones et des anglophones dans le cadre de mon travail à la Commission d'Homologation Marocaine. On reçoit environ 50% de descriptions en français, et presque tout le reste en anglais (quelques-unes en espagnol).

Les descriptions françaises sont quasi systématiquement plus courtes, moins précises et lacunaires. Une plus grande proportion d'entre elles sont donc malheureusement refusée.

Je pense simplement que chez nous, on apprend pas ou pas assez à décrire un oiseau, et pourtant c'est très important. Décrire, si possible en évitant les comparaisons.

Dans le cas de ce rapace que je prend en exemple, je vais reprendre la description que j'ai extrait du texte global.

"L'oiseau ne bat pas des ailes je l'estime grand. Ce qui me m'intrigue c'est la largeur des ailes: plus frappante que chez les Vautours fauves et moines et rien de comparable avec l'Aigle royal. La queue semble trés courte et arrondie. La tête est proéminente, sans plus, pointue. Je distingue alors fugitivement une zone beige clair à la base de la queue."

Le reste n'est que le récit d'une observation qui a manifestement impressionné son observateur! Agréable à lire, mais inutile quant à l'identification. Les comparaisons peuvent difficilement être utilisées, car elles dépendent de l'observateurs. Par exemple, il élimine d'emblée le Gypaète. Mais l'observateur connaît-il l'adulte, les immatures, le juvénile? Est-il conscient de la différence de forme en fonction de l'age (même chose pour les autres espèces citées)?

Les ailes sont larges, OK. Mais l'observateur a une vision "déformée" de ce critère. En effet, aucun rapace, chez nous en tout cas, n'a les ailes plus larges ou plus longues que le Vautour moine, le plus grand rapace.

Il s'agit alors d'une largeur impressionnante en proportion. Mais par rapport à quoi? A la queue peut-être (alors la queue est très courte). Par rapport au corps? Par rapport à la longueur de l'aile? Comme l'observateur précise que la queue est courte, c'est probablement cela qui "élargit" les ailes. La tête relativement proéminente et pointue. Cela peut être la bonne description, mais attention aux grands aigles dont le bec large et long "allonge" la tête. La base de la queue beige est un indice qui n'apporte pas beaucoup d'éléments.

Dans tous les cas, une éventuelle espèce peu commune ou rare, soumise à homologation avec une telle description sera refusée.

Pour éventuellement certifier une identification, il faudrait répondre à plusieurs de ces questions:

- La "base de la queue" beige était-ce bien la base de la queue, ou les sous-caudales? Ne pouvait-il pas s'agir des pattes (souvent jaunâtre chez les grands rapaces, contrastant avec le plumage brun foncé).
- Est-ce que le reste de l'oiseau était uniformément sombre (pas de contraste dans l'aile, par exemple)?
- La queue était-elle vraiment arrondie? (cela élimine alors le Percnoptère, qui a apparemment été suggéré).
- Quelle était la longueur de la queue par rapport à la largeur de l'aile (au niveau de la base)?
- Est-ce que les "coudes" formaient une proéminence au niveau du bord d'attaque?
- Est-ce que le bout de l'aile est bien large avec les rémiges séparées (si oui, combien de rémiges visibles)?
- Est-ce qu'en vol à voile, l'oiseau relevait les ailes en "V" avec le bout relevé, ou elles étaint tenues (quasi-) horizontalement, ou tenue légèrement courbée vers le bas?
- Est-ce que la tête est tenue légèrement plus basse que le corps (effet d'oiseau "bossu")?

Il y a d'autres critères importants possibles mais la réponse à ces différents points pourrait surement nous éclairer.

 

Réponse de Christian GONIN , "COMPTEUR...." , 30 Oct 2001

L'an dernier, j'ai déjà signalé l'adresse du fournisseur des compteurs à mains.
Il s'agit de ZIMMER S.A - Domaine de la Bruyère, 56690 ZIMMING

Tél : 03 87 90 30 22 - 03 87 90 32 22
Fax : 03 87 90 36 06

Cette société propose qques modèles de compteurs à main (prix allant de 87 F à 480 F en HT).
Vous pouvez aussi voir des modèles par le site Internet
http://www.zimmersa.com
Personnellement, je préfère les modèles simple (en métal) pour le prix de 87 F HT (réfèrence 3246C), ils ont plus solides et fiables dans les milieux côtiers (gare aux grains de sable) que ceux en plasitique plus chers (141 F HT).

 

question de Pierre LECLAIRE , "COMPTEUR...." , 23 Oct 2001

Plutot que de compter mentalement nos oiseaux de passage, en l'occurence canards et autres oiseaux d'eau, je voudrais acquerir un compteur automatique a pression.
Quelqu'un d'entre vous connait peut etre une adresse ou je pourrais m'en procurer un?
C'est urgent....
Merci d'avance pour votre reponse.

Pierre LECLAIRE
21000 Dijon

 

contribution de goujon gerard, goujon.gerard@free.fr, "re: obs de nuit", 11 Nov 2000

Il n'y a pas d'heure pour observer la nuit, pas de recette. En migration (c'est maintenant et ça se termine), il faut que le mouvement se déclenche sur une grande échelle, donc à cette saison que les conditions soient bonnes au NORD du point d'observation. Conditions idéales: anticyclone sur le proche atlantique engendrant un flux de Nord Est léger... et si possible pleine lune. Il est quand même mieux qu'elle soit là en début de nuit, ce qui permet aux migrateurs d'enchaîner directement du jour à la nuit: c'est donc en phase de lune montante, jusqu'à un peu après la pleine lune, soit maintenant.
Il faut écouter surtout en ayant travaillé les cris (grives, alouettes, pipits etc.). On peut aussi pointer sa longue vue sur la lune et regarder ce qui passe: ne riez pas, il faut de la patience, mais ça marche.
Gérard Goujon
CRBPO / CORA Isère

 

contribution de Gerard Joannes, g.joannes@ac-nancy-metz.fr, "Re: Une nouvelle recrue", 1 May 2000

J'aimerais participer au recensement des rapaces diurnes de France lancé par la LPO mais j'ai peur de ne pas pouvoir bien identifier ces majestueuses bêtes. Quelqu'un peut-il me dire comment s'y prendre avec la reconnaissances des rapaces ?

Je pense que la meilleure façon de progresser et de faire des sorties sur le terrain avec des gens plus expérimentés que toi. Ils se feront une joie de faire partager leurs connaissances. Pour ce qui est des rapaces, il faut surtout faire attention aux proportions et à la forme de la queue et des ailes et à leur façon de voler. Note aussi le milieu dans lequel tu as vu tes oiseaux.

 

contribution de Gerard Joannes, g.joannes@ac-nancy-metz.fr, "Compteurs manuels", 22 Dec 1999

Il y a quelque temps, l'un de nous cherchait où l'on pouvait se procurer des compteurs manuels. J'ai appris que

"Polylabo",
1 rue des Clercs 57000 Metz
en vendait.
Tél : 03 87 75 10 20.

La référence de l'article est : 48201 et le prix : 121 FRF.
Il ne s'agit pas de publicité bien entendu.

 

réponse de "Nicolas Selosse" <Nicolas.selosse@skynet.be>, "Re: Pipits en vol - L'identification à tout prix...", 29 avril 1999

Bruno Gilard a écrit :

> La réponse de Nicolas à l'interrogation de Gérard me laisse très perplexe...
> J'ai toujours été "impressionné" par la faculté (et la facilité !?!) qu'ont les
> spotteurs de sites de migrations* (notamment ici, en Auvergne : La Montagne de
> La Serre -63, Prat-de-Bouc -15, etc ) d'arriver à mettre SYSTEMATIQUEMENT un
> nom sur TOUS les oiseaux observés ! Que ce soient des "grosses espèces"
> (rapaces, par exemple) passant à perpéte (plusieurs kilomêtres), donc une vague
> silhouette pas plus grosse qu'une tête d'épingle, ou bien des plus petites
> (passereaux, par exemple) passant d'un trait assez haut au-dessus du site sans
> un cri...
> Et, comme par hasard, il y a bien souvent des espèces rares ou peu communes
> dans ces déterminations...
>
> De plus, le fait de mettre malgré tout un nom d'espèce précis sur des oiseaux
> que l'on sait non identifiés avec certitude (comme ici le Pipit farlouse, par
> défaut) me choque. Je trouve cela relativement grave que de telles habitudes
> soient prises et bien souvent ensuite validées de fait par publication des
> observations dans telle ou telle revue ornitho !
>
> Ne nous leurrons pas : l'identification visuelle de certains pipits en vol
> migratoire direct (observations brèves et répétées d'oiseaux faisant tirer),
> basée sur les critères décrits par Nicolas est quasiment impossible s'il n'y a
> pas de cris. Même l'expérience de terrain a des limites en la matière si elle
> ne peut plus reposer sur rien de concret.
> Dans ce cas, il me semble que la seule attitude à adopter, plutôt que de
> vouloir à tout prix mettre un nom précis à l'oiseau, est d'indiquer :
>"pipit sp".
>

 

Bonjour,

J'espère que le débat ornitho classique Vs Jizz n'est pas relancé ! Pour ma part, je suis partisan d'un compromis des deux écoles. Toutefois, sur un poste de suivi migratoire, l'expérience (et donc l'utilisation du Jizz) est primordiale. Aucun guide ne remplacera des centaines (pour moi des milliers) d'heures d'observation, et dans le cas présent des milliers et des milliers de pipits. Mais qui à parlé de facilité ?

Concernant l'aspect scientifique des comptages, les chiffres donnés pour Breskens (sud de la Hollande) sont une indication des MES observations. Les personnes qui suivent quotidiennement le site de février à fin mai utilisent la méthodologie classique par ex. 2900 pipits sp, 1100 pipits farlouse, 250 pipits des arbres. De même, sur la jetée du Clipon de Dunkerque (où je suis là sur "mes" terres, et rédacteur des chroniques "oiseaux de mer" pour le rapport littoral Flandres et Boulonnais) la classification est rigoureusement scientifique. Par ex. un labbe passant à mi distance (600 mètres), pour lequel on a la conviction qu'il s'agit d'un L. parasite mais où la distance ne permet pas de noter un ensemble de critères excluant une autre espèce, il sera systématiquement noté comme labbe sp. et publié comme tel dans les chroniques.

L'identification éclair ou à (très) grande distance est possible, tout est question d'expérience !

Nicolas Selosse
Commission d'homologation
Belgique

PS Conditions météo prometteuses pour le WE dans le nord de la France; une zone de nuage bas glisse en Mer du Nord vers le sud. Sachant que les courants étaient de sud-est jusqu'au sud de la Suède...

 

réponse d'emmanuel.hiriart@wanadoo.fr, "Re: conseils pour observer et identifier", 16 janvier 1998

Les pros je ne sais pas je suis un amateur. Etant un amateur un peu expérimenté je me permets de tenter une réponse.

1/ Bien étudier le guide entre les sorties, pour savoir quels sont les principaux éléments à observer (ce ne sont pas les mêmes pour tous les types d'oiseaux). Apprendre aussi précisément que possible le vocabulaire permettant de décrire l'oiseau.

2/ Sur le terrain, face à un inconnu. Prendre le plus de notes possibles avant de consulter le guide surtout si l'on n'a aucune idée de l'animal que l'on a devant soi (problème au début : on oublie toujours de regarder Le point important. Pas grave. la fois suivante on ne l'oublie pas).

3/ éventuellement consulter le guide (risque pour certains : tendance à "projeter" sur l'image du guide sur ce qu'il voit).

4/ Chez soi, reprendre ses notes, même si l'on est sûr de son identification, et consulter d'autres guides, éventuellement plus complet que celui que l'on avait sur le terrain. Si l'identification "sur le terrain" était solide, elle ne sera pas remise en cause, mais on en profitera pour acquérir une meilleure connaissance de l'espèce et des espèces voisines, qui servira pour l'avenir.

5/ Lors de la rencontre suivante avec le même oiseau, profiter de ce que l'on sait son nom pour le regarder vivre. C'est là que l'observation, qui n'est pas seulement un exercice de nomination, commence. Là encore on peut prendre des notes et comparer avec les différents ouvrages, au moins pour soi. On peut aussi, souvent, se laisser porter par la beauté et par l'émerveillement.

Emmanuel Hiriart

 

question de Francois POLET <typol@club-internet.fr>, "conseils pour observer et identifier", 16 janvier 1998

Comment réussir une bonne observation et surtout une bonne identification, quels sont les points importants à noter lors d'une observation pour que au retour l'identification soit correcte ?

Ceux qui observent ont'ils toujours un guide a portée de main ou alors prennent ils des notes pour identifier ces oiseaux au retour ??

En bref comment font les pros pour identifier leurs observations ??

typol@club-internet.fr

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