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Contribution de Manu Fréri, "Obs en Touraine - WE 14-17/03/2003", 19 Mar 2003 |
De retour en Touraine pour le Week-end, j'en ai profité pour faire quelques obs.
Ce Week-end aura pour moi été l'occasion d'entendre mon premier coucou de
l'année. Je mettrai prochainement sur mon site http://pixailes.free.fr/
quelques photos réalisées à l'occasion de ces sorties.
Manu Fréri
Juvisy sur Orge (91)
Contribution de Canadas Éric, EBowlers@aol.com, "coucou geai", 30 Apr 2001 |
Samedi 28 avril.
Est fait une observation d'un coucou geai a l'île de l'oiselet a sorgues(84)
sur le lieu de l'étang de la lionne.
Je n'est eu aucun mal a l'observer car il était assez peu farouche et cela
pendant une dizaine de minute.
Malheureusement je n'avait pris avec moi que ma lunette et pas mon appareil photo.
Je vais essayer d'y retourner dés que je peut pour faire une paire de clicher.
Par contre j'aimerais savoir ci c'est assez courant comme observation car d'après mon guide ce n'est pas évident et assez rare.
Je vous tiendrai au courant si je le revois a nouveau.
Canadas Éric.
Bedarrides.
Contribution de Pierre-Yves Bodart, bodart_py@hotmail.com, "Re : Coucou et parasitisme 'Egg mimicry'.", 29 Apr 2001 |
Dans obsfr, Frederic MALHER a écrit:
malgré des espèces-hôtes très différentes (et des couleurs d'oeufs
différentes )les oeufs du coucou ressemblent souvent (toujours ?) aux oeufs de son hôte.
Est-ce une adaptation génétique du coucou (la femelle coucou pond chez l'espèce dont les oeufs ressemblent aux siens) ou y a-t-il un effet visuel (style "caméléon des oeufs" ) qui ferait que le coucou adapte la couleur de ses oeufs à la couleur de ses hôtes ?
Y a-t-il des études là-dessus ?
Frédéric Malher - Paris
Any hypothesis to explain cuckoo nest selection must account for the phenomenon of 'egg mimicry', in which the egg of the cuckoo looks remarkably like the eggs laid by the host birds.
The most remarkable thing about cuckoo parasitism is the birds' ability to match the eggs of the host species in size, spottedness, background color, and darkness.
Un site Science-frontiers cite deux références anciennes...
http://www.science-frontiers.com/sf061/sf061b07.htm
Brooke, M. de L., and Davies, N.B.; "Egg Mimicry by Cuckoos Cuculus canorus in Relation to Discrimination by Hosts," Nature, 335:630, 1988.
Also: Harvey, Paul H., and Partridge, Linda; "Of Cuckoo Clocks and Cowbirds," Nature, 335:586, 1988.)
Ne semblent malheureusement pas accessibles via
http://www.nature.com/nature/
qui donnent cependant d'autres réferences plus récentes dont le plus pertinent semble
Robert C. Fleischer
To many people, even some who profess a deep love of nature, brood-parasitic birds such as cuckoos and cowbirds are evil creatures that do not deserve to exist, ...
Nature 406, 937 - 938 (31 August 2000)
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Mimicry is the resemblance of one organism (mimic) to another (model) such that these two organisms are confused by a third organism (receiver).
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Pardonnez-moi de poster ceci en copie sur la liste Ornitho, cette question du parasitisme ayant déjà été abordée de façon légèrement différente, voir archives thématiques
http://ornithologie.free.fr/espece/coucou.html [ici-même]
Contribution de antoine duprez, stryknine7@caramail.com, "martinets", 28 Apr 2001 |
j 'ai apercu mes 2 premier martinets il y a au moins 1 semaine !!!!
Par contre g entendu hier mon premier Coucou
antoine duprez
comines 59560 fr
Contribution de Ph. Renard, p-renard2@ifrance.com, "questions printanières", 8 Apr 2001 |
S'agissant du coucou, la femelle pond 8 à 12oeufs par
saison, jusqu'à 25 - tous en principe dans des nids
différents. Cela doit occuper la femelle un moment,
étant donné qu'elle doit repérer les nids à parasiter
d'après le va-et-vient des parents, et attendre que
ceux-ci soient absents - le tout sans se faire
repérer, sous peine de se faire généralement chasser.
pour ce qui est du mâle... il doit faire comme chez
toutes les espèces où le mâle ne participe pas à la
nidification. Il se nourrit notamment de chenilles
processionnaires - et il repart en Afrique dès le mois de juillet.
Pour ce qui est du territoire, je n'ai rien trouvé
dans la littérature, mais deux faits me font douter
que l'espèce le soit nettement:
-une forte proportion des oiseaux est polygame -ou
polyandre- ce qui indique qu'un des sexes au moins
est assez vagabond.
-la densité moyenne des mâles en milieu favorable est
estimée à 1 ou 2 /km2, mais on a observé des
individus se nourrissant de 2ou 3 km (femelles)
jusqu'à 4 (mâles) du site de ponte le plus proche: si
territoire il y a, il ne doit pas être très bien gardé.
Pour les pics, je ne connais pas d'espèces marquant
son territoire par des coups espacés: peut-être
s'agissait-il d'une simple recherche de nourriture?
Ph. Renard (Cher)
contribution de didier.velcin, didier.velcin@wanadoo.fr, "Naissance d'un coucou", 24 Aug 2000 |
J'ai observé, du 29 juillet 2000 au 2 août, un bébé coucou, dans la cour de ma maison à sainte-Croix-aux-Mines (Haut-Rhin, France), nourri par un couple de rouges-queue qui avait fait leur nid sous mon toit, à 3 mètres de mes fenètres. Idéal pour les photos.
contribution de Nelly Boutinot, nboutinot@nordnet.fr, "Les coucous de Chanfroy", 24 Aug 2000 |
Géroudet précise que le coucou est un solitaire mais qu'il lui arrive de se
retrouver avec des congénères en 2 circonstances:
1- lors d'une prolifération de chenilles en un lieu précis
2 - en migration
mais il ajoute: "on ne peut pas dire que ce soit par sociabilité"
Nelly Boutinot
Porte-parole du ROC - Directrice de la Communication
SAINT QUENTIN CEDEX
contribution de Jonathan Wyplosz, wxyz@worldonline.fr, "Les coucous de Chanfroy", 24 Aug 2000 |
Comme Jean-Luc Saint-Marc début juillet (message du 03/07/00), j'avais observé la dernière semaine de juin, dans la plaine de Chanfroy, une quantité incroyable de coucous (une bonne dizaine). D'habitude si discrets, les coucous étaient posés ici de manière très visible. Quelqu'un saurait-il m'expliquer ce rassemblement? Géroudet ne mentionne rien à ce sujet.
contribution de Daniel Philippe, daniel@trilease.com, "Re: Le coucou-geai ( Clamator glandarius)", 21 Jun 2000 |
La femelle du coucou dit classique pond des oeufs de couleur et de motifs plutôt ressemblants à celle de l'espèce hôte, parce que cette individue a été élevée par cette espèce hôte.
Dans l'excellent ouvrage de N. B. Davies "Cuckoos, Cowbirds and other cheats"
qui vient d'être publié chez T & AD Poyser, on apprend que la
femelle du Coucou-geai pond des oeufs bleu-verdâtre pointillés de brun. Ces
oeufs ont la même apparence que ceux de la Pie bavarde (même taille) et de
la Corneille noire (50% plus gros) qui sont les principaux hôtes du
Coucou-geai en Europe du Sud.
Toutefois, certains hôtes africains ont des oeufs de couleur différente.
Bien qu'il y ait quelques nuances entre les pontes d'individus différents, ce n'est rien en comparaison du Coucou gris où chaque femelle parasite une espèce-hôte "attitrée", souvent beaucoup plus petite qu'elle, et pond des oeufs qui ressemblent, en taille et en couleur, à ceux de cette espèce. Cette spécialisation a d'ailleurs amené certains taxonomistes à proposer une répartition du Coucou gris en plusieurs sous-espèces d'après les hôtes parasités. Mais les choses se compliquent quand on essaye de savoir si un mâle s'accouple toujours avec des femelles d'une même "sous-espèce"...
Dans ce bouquin, on apprend encore que les coucous ne sont pas tous
parasites. La famille des cuculidés comprend 140 espèces de coucous, couas,
malcohas, coucals et anis, divisée en 6 sous-familles; seuls les cuculinés
(54 espèces dans l'ancien monde) ainsi que 3 espèces de géocoucous
d'Amérique du Sud sont parasites.
En revanche, il y a d'autres oiseaux parasites: 7 espèces de vachers en
Amérique, 2 espèces d' indicateurs en Asie, 10 espèces de combassous, 9
espèces de veuves et (accrochez-vous) l'Anomalospize parasite en Afrique, et
enfin un canard sud-américain!!!
Daniel Philippe
Hong Kong
contribution de Lucien GUES, lgues@nordnet.fr, "Re: Le coucou-geai ( Clamator glandarius)", 19 Jun 2000 |
La femelle du coucou dit classique pond des oeufs
de couleur et de motifs plutôt ressemblants à celle de l'espèce hôte,
parce que cette individue [sic] a été élevée par cette espèce hôte.
Pour le coucou geai, il doit en être de même...
Tout à fait, Jean-Luc,
Je ne l'ai pas inventé, mais trouvé dans l'inépuisable littérature de
Géroudet : Les Passereaux, volume 1 : Des Coucous aux Corvidés.
Il dit ceci : "Le parasitisme s'exerce aux dépens des Corvidés, et surtout de la Pie, le seul hôte signalé en France (à l'époque, ndlr). La ponte a lieu furtivement, la femelle déposant d'habitude un ou deux oeufs relativement gros, présentant avec ceux de son hôte une ressemblance étonnante."
En fait le Coucou-Geai retire un ou deux oeufs du corvidé. Les jeunes Pies,
s'il en reste, sont élevées en même temps que les jeunes Coucous-Geais, il
n'y a pas d'expulsion des intrus.
Lucien GUES
AYETTE, Pas de Calais
contribution de jean-luc saint-marc, jlsm_A_club-internet.fr, "Re: Le coucou-geai ( Clamator glandarius) ; un mafieux en puissance ?", 19 Jun 2000 |
>Comme le coucou classique, le coucou-geai est parasite et dépose ses >oeufs dans le nid d'une autre espèce ;
La femelle du coucou dit classique pond des oeufs de couleur et de motifs plutôt ressemblants à celle de l'espèce hôte, parce que cette individue a été élevée par cette espèce hôte.
Pour le coucou geai, il doit en être de même...
Quelqu'une sait-elle ?
Quelqu'un sait-il ?
contribution de pierre-yves.bodart, bodart_py@hotmail.com, "Le coucou-geai ( Clamator glandarius) ; un mafieux en puissance ?", 16 Jun 2000 |
En complément de mes récentes observations de terrain, j'ai voulu en apprendre un peu plus sur le Coucou-geai (Clamator glandarius). Pas égoïste pour un sou, je vous livre ci-après ce que j'en ai retenu...
La zone de répartition s'étend sur le Sud de l'Europe et l'Afrique;
depuis l'Afrique de l'Est (Ethiopie, Soudan, Somalie) jusqu'au Sénégal,
l'Afrique du Nord , un peu du Moyen-Orient (Egypte notamment, mais en
recul dans ce pays) et de l'Asie Mineure & une partie des pays européens
en bordure de Méditerranée, Espagne essentiellement.
L'habitat naturel de l'espèce est la savane (en Afrique) versus des
paysages ouverts avec des arbres en Europe.
L'espèce s'accomode relativement bien de zones semi-arides comme elle
peut en rencontrer notamment au Moyen-Orient.
Pour la description des caractéristiques physiques, je vous renvoie à vos guides favoris. La littérature ornitho fait état de différences de tailles entre individus selon la localisation géographique mais la moyenne s'établit autour de 37-40 cm. Comme vous le montre les planches (par exemple celle de Mullarney dans le guide Ornitho), le juvénile est un peu plus volumineux (et plus coloré) que l'adulte.
Les habitudes alimentaires sont presqu'exclusivement insectivores (principalement chenilles mais aussi termites, sauterelles) mais occasionellement lézards (Payne, Handbook of the Birds of the World 1997). Ce coucou se nourrit habituellement au sol. Il peut cependant sautiller dans les branchages pour débusquer des victimes, ou poursuivre des proies plus mobiles.
Au niveau reproduction, mâle et femelle sont souvent vu volant &
chassant ensemble début de l'été, en échangeant quelques cris.
La saison de reproduction sur la plupart de la zone de répartition
(surtout l'Afrique donc) est d'Octobre à Janvier.
Ils forment le plus souvent une paire monogame. Occasionellement,
plusieurs mâles peuvent porter leur intérêt sur la même femelle.
Comme le coucou classique, le coucou-geai est parasite et dépose ses oeufs dans le nid d'une autre espèce ; en zone européenne, c'est souvent Pica Pica qui en fait les frais. En Afrique, on a parfois constaté du parasitisme vers des nids d'étourneaux.
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L'hypothèse la plus communément admise en ce qui concerne le parasitisme
avien est l'économie d'énergie pour les parents.
Certaines études ont démontrés qu' en Afrique, les coucous parasitant
produisait en moyenne un oeuf de plus que les oiseaux non-parasitant. De
quoi assurer une meilleure pérénité de l'espèce, à fortiori si
s'applique la théorie de ne pas mettre tous ses oeufs dans le même
panier. On connait également la célèbre capacité de l'espèce coucou à
réaliser des oeufs mimétiques de l'espèce parasitée.
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C'est la femelle qui prend l'initiative de trouver le nid hôte, mais le mâle est éventuellement réquisitionné pour distraire le propriétaire légitime pendant que la femelle place son ou ses oeufs à côté ou à la place de ceux de l'espèce parasitée.
"Le nouvel atlas des oiseaux nicheurs de France 1985-1989" précise
quelques différences avec le parasitisme du coucou gris.
Plusieurs femelles de Clamator g. peuvent pondre dans le même nid. Les
jeunes n'éjectent pas les oeufs ou oisillons de l'espèce hôte.
Mais la femelle supprimerait quelques oeufs.
Cramp (Handbook of the birds of Europe, Middle East & North Africa,
1985) cite jusqu'à une ponte de 13 oeufs dans un seul nid et de 15 à 25
oeufs par saison.
La durée d'incubation courte (14 jours, soit jusqu'à cinq jours plus
court que l'espèce hôte) confère cependant un avantage de développement
aux jeunes sur les jeunes pies.
Au niveau migratoire, les coucous-geais européens migrent vers l'Afrique, quoique certains ne dépassent pas le Sud de l'Espagne (Cramp, Handbook of the birds of Europe, Middle East & North Africa, 1985). Les adultes sont les premiers partis, dès mi-juin alors que les juvéniles quittent en Juillet ou Août (Payne, Handbook of the Birds of the World 1997).
Une anecdote scientifique intéressante, le Dr Manuel Soler (Granada, Espagne) a essayé de démontrer l'évidence d'une forme de mafia avienne se traduisant par la destruction des nids de pie (ou de sévères blessures aux poussins de pie) par le coucou quand ce dernier réalisait que ses oeufs avaient été éliminé par l'hôte...Une sorte de racket et d'expéditions punitives visant à protéger ses propres jeunes. La communauté scientifique est cependant partagée quant à la réalité de ces phénomènes sur l'ensemble de la zone de répartition de l'espèce.
Quelques références sur ce dernier point.:
Soler, M., Soler, J.J. and Martinez, J.G. 1997. Great spotted cuckoos
improve their reproductive success by damaging magpie host eggs. Animal
Behaviour 54: 1227-1233
Soler, M., Soler, J.J., Martinez, J.G. and Moller, A.P. 1995. Magpie
host manipulation by great spotted cuckoos: evidence for an avian mafia?
Evolution 49: 770-775.
contribution de pottokaren etxea, pottokaren.etxea_A_wanadoo.fr, "Re: Réf. : Migrations en direct", 27 Mar 2000 |
premier coucou gris de l'année, samedi 25 mars, à Saint-Brice (Charente).
Pour nous à Riscle dans le Gers, c'était le samedi précédent : le 18 mars .
contribution de ALEIXANDRE Pascal, , "Migrations en direct", 27 Mar 2000 |
J'ai entendu mon premier coucou gris de l'année, samedi 25 mars, à Saint-Brice (Charente).
réponse de "Benoît GAUQUIE" <benoit.gauquie@skynet.be>, "Re: Coucou où es-tu?", 3 Avril 1999 |
Un coucou chanteur le 2/4/99 dans le bois de Howardries-Rongy (Brunehaut) - Hainaut belge; un bois humide qui accueille classiquement plusieurs exemplaires de coucous et de loriots.
Benoît
-----Message d'origine-----
De : Rafael
À : avimonde@openface.ca <avimonde@openface.ca>;
ornithologie@apro.fr
<ornithologie@apro.fr>
Date : samedi 3 avril 1999 14:04
Objet : Re: Coucou où es-tu?
>Toujours pas de coucou dans le Pas de Calais, au Nord de la
France.
>Mais ici c'est normal. J'ai encore jamais vu ni entendu de Coucou
au
>mois de Mars ici. Si quelqu'un l'a déjà entendu
ici, qu'il me le dise.
>Merci d'avance.
contribution de "Christian Lassalle" <christian.lassalle5@wanadoo.fr>, "Coucou-thérapie", 13 mars 1999 |
En Gironde également nous avons entendu le coucou ce 13 mars et, sacrifiant à une croyance locale, tout notre groupe de joggers s'est roulé par terre pour ne pas avoir de rhumatismes pendant toute l'année.
Personne n'y croit (parmi nous) mais ça nous fait rire...
contribution de "Michel Tellia" <mte@club-internet.fr>, "c'est le printemps ! (ter)", 13 mars 1999 |
Aujourd'hui 13 mars en Touraine, j'ai vu et entendu mon premier coucou de l'année, sous le soleil et en tee-shirt, là c'est vraiment le printemps.
réponse de Serge Crebassa <serge@polisoft.fr>, "Re: coucou", 29 avril 1998 |
En forêt de L'isle Adam, entre paris et pontoise, j'ai entendu le premier coucou le 14 Avril...
contribution de Eric Biasin <eric.biasin@wanadoo.fr>, "coucou", 26 avril 1998 |
premier coucou entendu en seine-maritime (région Dieppe) entendu ce dimanche 26